Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 06:37
Si tu le veux, je te bande les yeux.

Pas pour te faire du mal, pas pour profiter de toi, mais juste pour que tu puisses te concentrer sur tes sensations.
Laisse-toi aller, laisse-moi m'occuper de tes sens.

Je te prends dans mes bras, mon souffle dans ton cou et mes lèvres qui s'y posent, qui hument ce doux parfum et frôlent ta peau si douce.

Mes mains déboutonnent ton corsage, laisse aller le temps, laisse vagabonder ton esprit. Ressens-tu ce frisson qui parcourt tout mon corps ?

Mes lèvres respirent ta peau, ma joue caresse la naissance de tes seins, je glisse le vêtement de tes épaules à présent dénudées. Je touche de mes doigts, de mes bras de mon corps la tièdeur de ton corps.


Je libère tes seins de l'emprise des bonnets. Tu es là, devant moi, contre moi. Les yeux bandés, le souffle court, ne sachant que faire de tes bras... laisse.

Goûte le plaisir de mes mains sur ta peau, des caresses sur tes seins, de mes lèvres sur tes rondeurs. Ressens le plaisir de ma bouche qui emprisonne ton mamelon, de ma langue qui s'active sur le téton, tandis que mes mains te libèrent de ta jupe et la font glisser sur tes hanches.

Bien sûr que je vais descendre mes lèvres, bien sûr que je goûterai ta douceur bien en dessous de la ceinture. Mes mains parcourent tes galbes et tu t'alanguis. Je t'allonge délicatement sur le lit, comme tes jambes se dérobent sous toi.

Prends tes seins dans tes mains, continue devant moi
la carresse débutée, emprisonne tes jolis petits bouts pour les offrir à mes lèvres, carresse tes mamelles, ressens le plaisir de la douceur de tes gestes et des miens.

Continue...

que ma bouche et mes mains partent à la découverte de ton ventre, doux et chaud, l'embrassent, le goûtent, le hument, le lèche.

D'une main j'écarte ton string découvrant ton trésor. Je souffle délicatement sur tes lèvres. Sens-tu mon souffle à cet endroit précis ? je vois ton sexe qui se contracte un peu et se gonfle, perdu entre le désir et la peur de céder au désir.

Caresse tes seins, caresse ton ventre, laisse-moi te défaire de ce bout de tissu que je fais glisser le long de tes jambes.

Tu ne vois rien, mais tu ressens, je te vois nue et je te sens, délicate et craintive. Tu es belle, de cette beauté qu'on ne peut décrire que dans la tête, de celle qui émeut les sens et le coeur.

Tu souris, mes doigts te parcourent à nouveau, mon corps te frôle et je te respire.

Ecarte un peu tes jambes, que je te voies, que je souffle encore sur tes lèvres, que j'attrape tes petites lèvres délicatemnet, je les tire doucement, je remonte jusqu'au petit bouton rose que je dégage délicatement.

Le bout de ma langue vient s'y poser, tu frémis. Je souffle encore pour rafraîchir l'endroit et accentuer tes sensations, tandis qu'une de mes mains remonte vers ce sein dardé, pour en masser le bout.

Je goûte ta liqueur et je tète à présent ce petit bout de chair tendu, ma main libre se charge de titiller l'entrée de ta grotte. Tu résistes. Je ne te sens pas vraiment prète à laisser mes doigts pénétrer ton alcôve.

Ma bouche remonte jusqu'à tes lèvres. ma main continue de caresser ton clito, je glisse l'autre sous ta nuque.

Je te chuchote de ressentir ton corps, de sentir mes mains et ce qu'elles font, de me dire si tu aimes, si tu veux que j'arrête, si les sensations te déplaisent. Et tu restes silencieuse. Tu sais que tu m'incites à aller de l'avant ? Par ton attitude silencieuse, tu es en train de me dire oui, le sais-tu ? Dans un souffle, tu acquiesces timidement.

Alors je te préviens...

Je vais retourner te manger ton clito, je vais te le tèter, je vais tripoter tes lèvres, les grandes et les petites, passer ma langue dans ta fente et pénétrer ton antre avec mon doigt, mes doigts. Ressentir la chaleur de ton ventre, déclencher le volcan que nous savons présent. Je vais te faire jouir de ma bouche et de mes doigts, de ma peau contre ta peau, encore et encore.

Oublie qui je suis, ne garde que les sensations, laisse ton corps recevoir ces plaisirs........

Par Bidi - Publié dans : bidi
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 08:15

Le texte qui suit est une pure fiction.... écrite il y a quelques temps, mais chuttttttttttttttttttt ça aurait pu être vrai.... peut-être



J’allais poser mes affaires à la consigne, histoire de faires mes emplettes parisiennes sans contrainte.

Quand soudain je sentis un regard posé sur moi, insistant.

En me retournant, je vis une silhouette fine, mais ce n’est pas la silhouette qui attira mon attention. Ce visage….

 

Un bond de trente ans en arrière s’opéra immédiatement.

 

Le bac, épreuves de rattrapage. On plaisante entre potaches, en attendant notre tour.

« … je vous annonce que F. et moi allons nous marier…. ».

Le sol qui se dérobe sous mes pieds, rien entendu de la suite.

 

Reprenons pied, ok, c’est ainsi, pas de souci, tu n’es qu’un minable, vous êtes tous des minables, je vais vous montrer ce que moi, je vaux.

 

Je savais qu’A. et F. étaient liés. Ca faisait même pas mal de temps. J’étais l’amie de F.

Et puis, du haut de mes 16 années, j’étais tombée amoureuse. Mais je n’avais rien dit. Il était pris.

Il faut croire qu’il l’avait senti car il m’avait proposé un jour de venir me chercher à mon bus pour m’emmener au lycée. Et là, il s’était montré insistant. Trop insistant pour une jeune fille amoureuse qui avait cédé en demandant timidement « et F. ? »

t’inquiète, je vais lui parler.

Jeune fille amoureuse, et un peu niaise, je l’avais cru.

C’est ainsi qu’avait commencé cette liaison, qui dura quelques mois.

Officiellement, il était toujours avec elle.

En cachette, sous le prétexte de me raccompagner au bus ou de venir me chercher, nous étions amants. Moi, j’étais amoureuse.

Bêtement amoureuse. Et en plus, c’était mon premier amant. Il avait de l’expérience, moi pas.

Il me disait que mes hanches étaient « bizarres », que je « mouillais trop et que le sexe de l’homme patinait », ce qui l’avait amené un jour à me faire goûter à la sodomie, avec ce mot cruel à la fin « quand tu seras comblée, tu me diras ».

Première leçon : un homme pense avec sa queue

 

Malgré tout, j’étais restée amoureuse.

 

Le bac, je l’ai eu, tous écrasés, je suis arrivée à plus de 12 de moyenne, malgré le rattrapage.

J’ai continué ma vie.

Deuxième leçon : ne croire qu’en soi

 

Je lui avais demandé une faveur : détruire mes lettres, ne rien dire à F. Une semaine plus tard, je recevais une lettre d’injures de F. J’étais une briseuse de ménage.

Mes parents ont dus aussi être avertis, car ils m’ont demandé pourquoi je « prenais les fiancés des autres ».

Troisième leçon : ne jamais faire confiance

 

Il et revenu me voir lors de mes études, il voulait manifestement me revoir, il était devenu papa, ce n’était pas brillant avec F…. Mais moi aussi j’avais grandi. Malgré mes sentiments toujours présents, il n’avait rien obtenu.

Quatrième leçon : s’accrocher à ses décisions

 

Et là, 30 ans plus tard, quasiment pas de changement.

 

bonjour

tu n’as pas changé

non même poids qu’il y a 30 ans

moi, j’ai pris trop de rondeurs

ça te va bien, et tu as pris des « poumons », tu es craquante.

 

Toujours flatteur à ce que je voyais.

Si je suis trop ronde, il aurait bien fait de prendre quelques kilos qui rendent un homme mûr plus séduisant.

Nous avons déjeuné, parlé de nos vies. Nous avons des vies bien remplies, des métiers intéressants.

Je suis libertine, il est infidèle.

 

Bref, papotage et rires, moment agréable.

L’ado restée en moi insuffle à l’adulte que je suis une tendre affection pour ce garçon.

 

Debout sur le quai de la gare, on se dit au revoir, gentiment

 

……………………………..

 

Les lèvres se rejoignent, délicatement au début, puis de plus en plus intensément, les langues se mêlent, les bras serrent contre soi le corps de l’autre.

Les regards pétillent, plongeon de trente années vers les émois des années lycée.

 

Main dans la main, nous montons dans la chambre de l’hôtel.

Une fois la porte refermée, l’effusion des corps nous entraine dans un tourbillon où nos sens en éveil se font la vie belle.

Ses mains se font exploratrices, les miennes inventives.

Les jambes s’emmêlent, nous roulons sur le lit, dessus, dessous. Nos lèvres avides redécouvrent en meilleur ce qu’elles n’avaient pu découvrir alors.

 

Mes seins tendus dardent leurs tétons vers sa bouche gourmande, tandis que mes mains défont sa ceinture, et plongent à la recherche de son désir turgescent.

Je baisse son pantalon, puis son boxer, je touche enfin son corps, ses fesses si douces, la chaleur de son entre cuisses, ses couilles chaudes et rondes, son sexe tendu, légèrement humide. Je sens l’odeur de l’amour, du désir, du sexe.

 

Je m’échappe de ses mains pour m’accroupir, finir d’ôter ce pantalon… tandis que mes pensées me font imaginer avec délices un homme en kilt… Ma bouche a trouvé sa sucette préférée, mes mains finissent de déshabiller le monsieur et remontent en caressant ses jambes de l’intérieur, ses fesses fermes, mon doigt s’immisce dans la fente qui sépare les deux globes.

 

Ma langue tourne autour de son gland, ma main gauche englobe ses couilles et mon majeur va titiller cet endroit si sensible, l’espace entre les couilles et l’anus puis revient serrer délicatement la base de la queue pour la branler en regardant mon amant.

Je ne quitte pas ses yeux pendant que ma main s’agite, je suce goulûment mon doigt pour ensuite aller le glisser entre ses fesses, sur son orifice que je mouille avant de le pénétrer à peine. Mon pouce s’appuyant plus bas, je masse sa glande doucement et je le reprends en bouche.

 

Je le pousse gentiment sur le lit – allonge-toi – je continue ainsi à le manger, le lécher.

Sa queue ne me suffit plus, ma langue s’égare vers ses couilles, son anus.

Il décide de ne plus se laisser aller, m’agrippe et me retourne sur le dos, pour faire enfin ce qu’il n’avait jamais pu à l’époque de nos amours d’ado. A son tour de goûter mes lèvres et mon bouton. 30 ans ont passé, ces plaisirs de sexe buccal ne m’effraient plus, bien au contraire.

A peine a-t-il posé ses lèvres et sa langue sur mon intimité que je me cabre en gémissant.

Ma mouille ne le gêne plus, il la déguste bruyamment, ses doigts se font intrusifs, je ne suis plus qu’un sexe offert – encore, encore – tandis qu’il tète mon clitoris gonflé.

 

Je gémis, je crie de plaisir, je ne peux empêcher tout mon corps de bouger tant les décharges électrisantes de ses caresses me procurent de plaisir.

 

C’est sa queue que je veux à présent dans mon ventre. Je veux sentir cet homme en moi, pouvoir associer ma jouissance physique à la jouissance mentale de voir son plaisir dans ses yeux.

Je veux avoir à la fois son sexe dans mon sexe et sa langue dans ma bouche, ses mains sur mon corps et les miennes sur son corps.

 

Je veux le sentir très profond, le chevaucher et lui offrir la vue de mes seins tendus vers sa bouche, l’autre vue de mes fesses cambrées pour accueillir son membre dans une levrette déchainée. Lui sur moi, moi sur lui, les positions varient et nous poussent vers des sommets de plaisir jamais atteints ensemble.

 

Plusieurs fois je crie de plaisir, je me cambre, je sens mon sexe se contracter, des vagues délirantes inonder mon corps, ma tête, dans les secondes qui suivent, il contemple l’effet produit, l’orgasme qu’il déclenche à répétition sur une femme gourmande.

 

Il varie les allures au rythme de son plaisir, ralentissant quand il se sent trop près de l’explosion, pour profiter encore des miennes, d’explosions. Et puis il accélère, se retire et me repénètre, réaccélère, ralentit, s’arrête contemplant ce corps qui s’agite pour reprendre le mouvement, recommence………. Jusqu’à ce qu’il s’autorise enfin à lâcher la pression de son orgasme à lui, me procurant alors un plaisir qui m’emmène au bord de l’apoplexie, puis retombe.

 

Je le serre dans mes bras, je goûte encore à sa peau, c’est le moment du câlin tendre, complice, où les amants épuisés savourent la détente et la chaleur de l’autre, où les corps détendus communiquent par les pores et où les esprits somnolents se rejoignent dans un espace serein.

 

…….

Debout sur le quai de la gare, on se dit au revoir, gentiment.

A dans 30 ans pêut-être...

 

 

Par Bidi - Publié dans : bidi
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Dimanche 12 octobre 7 12 /10 /Oct 08:34



La vue de ce spectacle déclencha chez le deuxième un orgas me puissant, et je sentis les spasmes de son éjaculation sur les parois de mon vagin. Je jouis en même temps, sans pouvoir retenir un cri tellement l’orgasme était violent. Tu te retiras de moi, mes mains toujours emprisonnées dans une des tiennes, tu me penchas en avant pour bien dégager la vue de mon fessier et tu jouis à ton tour, dans un puissant râle. Ta main libre étala ta semence sur mes fesses et mon sexe.

Epuisés, nous nous allongeâmes. Un instant, je portai les mains à mon bandeau pour l’ôter. Mais dans un éclat de rire, plusieurs mains vinrent me maintenir les bras.

Nous sommes rentrés. Moi, toujours les yeux bandés, les mains attachées. Tu as abandonné mes tendres bourreaux sur le bord de la route, non sans qu’ils m’aient donné chacun encore des baisers brûlants.

Arrivés à la mai son, tu m’a détachée, tu m’as fait un grand sourire et tu m’a embrassée.

« Merci », ai-je soufflé. Tu as juste répondu : « Montons dans la chambre, j’ai envie de toi, là, maintenant ».

Publié dans : bidi
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Samedi 20 septembre 6 20 /09 /Sep 18:07
Edition 2009, et la première il faut le dire, des lutins mutins.

Pourquoi Lutins ?

Parce qu'ils lutinent, et que c'est plutôt buccolique

Pourquoi Mutins ?

Parce qu'ils sont mutins tiens pardi !



Les photos de ce calendrier ont été réalisées par moi même, durant deux après-midi coquines....

  • Une où nous sommes retrouvés rapidement en tenue lutin.
  • Une autre où nous avons joué un strip poker très amusant....


Le site libertinons.com est un site libertin, convivivial (et dans convivial, il n'y a pas que "con"), ludique, qui veut s'étendre sur la France entière, même s'il a plutôt vu le jour en région lyonnaise.

Je suis sur ce site... avec un pseudo très particulier. Je n'en suis pas propriétaire (du site). Mais je l'aime bien.



Amusez-vous bien.... et à bientôt !

Bisouilles partout où vous voulez


Bidi
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Mercredi 18 avril 3 18 /04 /Avr 22:40

Elle est arrivée dans sa jupe fendue, avec sa cape sur les épaules et son chapeau, le regard coquin et un petit sourire énigmatique au coin des lèvres.

Il l’a vu de loin et a sourit. Il n’imaginait pas cela tout à fait ainsi. Elle venait pour une attestation d’assurance, il ne fallait pas qu’il se fasse d’illusions. Au téléphone, il lui avait dit qu’il n’était pas au bureau mais avait son dossier. Elle était pressée de boucler la déclaration.

Il lui avait donc fait une fleur en lui proposant de venir chez lui finir de remplir les papiers.

 

Mais il devait avouer que le dégât des eaux dont il était question lui faisait penser à autre chose de moins sérieux, mais de beaucoup plus plaisant.

 

De son côté, elle avait été émue par la voix qui venait dans son oreille, via le combiné. C’est bien pour ça qu’elle avait insisté pour que le dossier soit bouclé au plus vite. Une légère chaleur s’était emparée de son ventre, de plus en plus précise au fur et à mesure de la discussion.

 

Bref, ils étaient là, l’un en face de l’autre. Ils se dirent bonjour. Curieusement, la bise vint naturellement, spontanément, sans gêne.

 

Il l’accompagna jusqu’à chez lui. Elle ôta sa cape et son chapeau. Et c’est là que tout bascula.

 

Il vit qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Et même, un des boutons de son chemisier s’était ouvert sous l’effet de la poitrine qui gonflait le tissu.

Il eut une subite envie d’elle. Il pressentait que cette envie était réciproque.

Il s’approcha :

-         Je peux vous dire bonjour maintenant ?

Le petit oui timide eut une réponse torride de deux langues qui s’entremêlaient. Deux bouches accolées qui se dévoraient…

Ainsi mêlés, il l’entraina près de la cheminée où le feu crépitait doucement.

Elle semblait à la fois emplie de désir et de gêne, ne sachant si son envie devait être assouvie ou s’il valait mieux qu’elle résiste. Il sentit cette hésitation et décida de passer à l’offensive.

 

Dénouant son foulard, il lui banda les yeux et l’assit sur les coussins, ses mains parcourant les courbes de son « assurée » qu’il se devait de rassurer.

-         Ne bouge pas, je te regarde…

Elle se sentit se mouvoir, entendit des bruissements d’étoffe. Curieusement, alors que le fait de ne rien voir aurait dû l’angoisser, elle se sentait presque rassurée, comme si la suite des événements ne dépendait pas d’elle. Elle ne pu s’empêcher de penser qu’une autruche réagirait ainsi. Un sourire vint alors éclairer son visage, puis soudain un mouvement de recul, d’étonnement.

-         ne t’inquiète pas, c’est juste une queue, la mienne.

Décidément, elle n’était pas dans son état normal ! Ces mots lui avaient décuplé son désir, et ses lèvres s’ouvrirent d’elles-mêmes pour accueillir le membre turgescent et le téter doucement, puis de façon bien plus avide.

 

Ses mains à présent allaient et venaient sur le corps de son amant, pétrissant ses fesses, caressant ses boules, masturbant sa tige. Elle avait des mouvements de bassin totalement involontaires et ressentait dans son corps le plaisir de son partenaire.

Lui ne bougeait presque pas tant elle s’activait. De temps à autre, il la forçait à ralentir le rythme pour faire durer la sensation le plus longtemps possible. Il était debout devant elle et contemplait le spectacle de cette femme qui l’avait en bouche et visiblement était de plus en plus excitée.

 

A un moment, il eut envie de plus de goûter lui aussi à l’intimité de la dame, de participer enfin sans plus être uniquement le jouet de sa bouche. Il fallut se retirer de sa chaleur et ressentir le vide de l’air autour de son gland.

 

-         A moi maintenant. Ne touche pas ton bandeau, je te veux ainsi. Installe-toi au fond des coussins.

Elle s’allongea un peu en gémissant et en cherchant à rattraper la queue qui lui échappait. Il défit totalement le chemisier pour admirer ses seins dont les tétons pointaient, durcis par le désir de son corps.

En saisissant ses cuisses, il la fit basculer légèrement et lui intima l’ordre de s’ouvrir en grand. Ce qu’elle fit. Elle portait un collant soyeux qui interdisait l’accès à son intimité. Se savoir offerte ainsi, sans pouvoir toucher la peau de celui qu’elle désirait, devinant son regard qui se régalait de sa position, de son impuissance aussi, la fit mouiller encore plus.

 

Le nez de l’homme vint respirer doucement entre les jambes, caresser l’entrecuisses ce qui l’excita à un point qu’elle ne savait pas possible.

-         J’ai trouvé le dégât des eaux annonça-t-il, il faut explorer la zone pour colmater la fuite….

Et sans plus attendre, sa bouche se fit plus inquisitrice, brusquement, ses dents saisirent le nylon des collants et le déchirèrent sans hésitation.

Des doigts immédiatement se faufilèrent dans la fente ainsi ouverte et agrandirent la brèche, écartant le string et dévoilant enfin l’antre de la dame.

Elle poussa un cri – de plaisir, de soulagement, d’excitation – quand la langue vint lui lécher ses lèvres, les tirer, les mordiller, les mains à présent avaient fini de déchirer le collant, et le string avait bien failli subir le même sort. La langue agile fouillait le sexe trempé, revenait jusqu’à l’anus, repartait téter le clitoris gonflé, les dents mordillaient les lèvres, juste à l’entrée du vagin. Les doigts assurés pénétraient l’intimité de la jeune femme.

 

Elle n’était plus que plaisir et désir. Encore, encore, oui, comme ça…. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii…Elle hurla son plaisir tandis que son corps entier tremblait de l’orgasme qu’il lui donnait.

 

Il la regarda, ému de son plaisir à elle, et son désir ne fit que s’accroître. Il prit un peu de distance et lui retira le bandeau.

- Maintenant, regarde-moi. Je vais te baiser, je vais encore te faire jouir….

 

Par Bidi - Publié dans : bidi
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